[Chronique] Death Note Black Edition, Volume 1 – Takeshi Obata & Tsugumi Ohbata

[Chronique] Death Note Black Edition, Volume 1 – Takeshi Obata & Tsugumi Ohbata

Death note


Tome 1
Light Yagami ramasse un étrange carnet oublié dans la cour de son lycée. Selon les instructions du carnet, la personne dont le nom est écrit dans les pages du Death Note mourra dans les 40 secondes !! Quelques jours plus tard, Light fait la connaissance de l’ancien propriétaire du carnet : Ryûk, un dieu de la mort ! Poussé par l’ennui, il a fait entrer le carnet sur terre. Ryûk découvre alors que Light a déjà commencé à remplir son carnet?

Tome 2
Light entend bien imposer au monde sa vision de la Justice ! De nombreux criminels sont morts après que leurs noms aient été inscrits dans le Death Note ! Alerté par ces morts étranges, le FBI enquête au Japon. Light fait partie des suspects mais, grâce au Death Note, il parvient à se débarrasser des soupçons qui pèsent sur lui. Malgré cela, L, continue à suivre le jeune homme !

Mon avis

Aujourd’hui, c’est une relecture de Death Note de Takeshi Obata & Tsugumi Ohba que je vous propose. Et en Black Edition, s’il vous plaît ! Je trouve ça plaisant que les « grosses » sagas de mangas sortent en double édition, ça prend moins de place et ça coûte moins cher. Comme mon chéri n’avait jamais lu les DN (booouh) et que j’ai du arrêter ma lecture au 5è tome en édition normale, c’était l’occasion de s’y remettre (et puis comme j’ai la mémoire courte… ^^’ )

C’est un shônen macabre, ponctué de meurtre toutes les cinq pages, pour notre plus grand plaisir. Ce que j’aime dans ce manga, c’est que l’histoire démarre très vite. Le premier tome ne sert pas juste à poser les bases, il fait avancer l’histoire, tout en restant dans une parfaite cohérence du début à la fin.

Les graphismes sont beaux, surtout quand il s’agit du Dieu de la Mort, Ryûk. Il est très détaillé, ce qui le rend presque attachant (je dis bien presque, il n’en reste pas moins la mort). Et ce format en Black Edition porte bien son nom : la couverture du manga et noire, il n’y a pas une seule page blanche à l’intérieur.

Le duo L/Light est très intéressant. Malgré leurs différences, ils ont tout de même un point commun : Ils n’aiment pas perdre. Des grands enfants, en somme. On va pouvoir les voir évoluer d’un côté, l’un en tuant des criminels, l’autre essayant de stopper ces meurtres à répétitions. Ils ont une capacité d’analyse, de compréhension, très ressemblante. Et c’est ces capacités qui vont faire avancer notre histoire.

Les petits bonus qui font plaisir : le récapitulatif des règles du Death Note, entre chaque chapitres avec une déco gothique ; Et les deux roadstrip en fin de livre, à voir du côté humoristique, comme la plupart des mangas. Un dernier, qui me fait toujours sourire quand je le vois, c’est quand les personnages sortant un tant soit peu de l’ordinaire montent en haut d’un transfo pour qu’on ai une vue d’ensemble. C’est une similitude que l’on retrouve dans plusieurs mangas, comme Chobits.

Death Note est un classique à lire et à relire, qui ne perd rien de son charme au fil du temps.

 

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