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[Chronique] Les concentrés – La musique et Les monuments de France

[Chronique] Les concentrés – La musique et Les monuments de France



 

Mon avis

J’avais déjà présenté la collection Les concentrés sur le blog en mars dernier, ces petits livres bien fournis et toujours aussi bien présentés. Aimant plutôt bien ces petits ouvrages (et mon petit frère aussi, ils font parti des livres que je ne reverrais, je pense, jamais dans ma bibliothèque), donc quand j’ai eu l’opportunité de découvrir les petits derniers sur la musique et les monuments français, je n’ai pas hésité.

Pour rappel, ces petits livres sont adaptés pour le programme scolaire des 9-10 ans, c’est donc un très bon complément qui nous est proposé là, bien sûr, dans une version moins rébarbative que ce que l’ont retrouve dans nos écoles !

Chaque ouvrage est séparé en section, par thèmes bien définis, le tout pour pouvoir se repérer plus facilement. Bien sûr, tout n’y est pas en 80 pages, mais l’essentiel est là et c’est ce qui suffit à nos petites têtes blondes. Les pages se présentent toutes de la même manière : une fiche d’identité (de la personne, du bâtiment, du lieu, ou de l’instrument de musique…) avec des anecdotes sous les titres « Hallucinant ! », « Dur » ou encore « Trop gore! », pour le plus grand plaisir des jeunes. Quand c’est utile, une frise chronologique est là pour rappeler les grandes dates. Le tout est agrémenté d’un texte et d’illustrations. C’est clair, précis, et le langage est à la portée de tous.

Ce qui est intéressant sur ces deux ouvrages, c’est que pour La musique, on ne s’arrête pas aux fondateurs de tel ou tel genre, et on en évince pas : ainsi les jeunes pourront lire un article sur le rap, tout en lisant la bio des Daft Punk, ou pour les plus traditionnels, découvriront la naissance de la musique classique et apprendront tout ce qu’il faut savoir sur Mozart. Côté monuments, bien sûr nous avons les immanquables : Tour Eiffel, Château de Versailles ou encore les galeries Lafayettes, mais on découvre aussi des monuments moins connus des jeunes, comme Le palais idéal ou les Hospices de Beaune.

Je n’en avais pas parlé dans mon premier article, mais cette collection s’adapte à la nouvelle ère numérique ! Une application (Androïd et iOS) existe et permet à l’utilisateur de tester ses connaissances après lecture. Les adultes peuvent également s’en servir en augmentant la difficulté . Je ne l’ai pas encore testée sur mon sujet test (spoiler : c’est mon voleur de livres), mais il y a fort à parier qu’il resterait scotché devant rien que pour éclater les scores !

En bref, des petits livres à mettre entre toutes les mains.

Livres lu grâce aux éditions Nathan !

[Chronique] Débrouille-toi – Lionel Chareyre

[Chronique] Débrouille-toi – Lionel Chareyre

débrouille toi !


« Fraîchement diplômé, je viens de voler deux millions d’euros, rien de prémédité. »
Etudiant, Quentin Leblanc rencontre Chloé dont il tombe follement amoureux. Leur idylle prend fin lorsqu’elle décide de partir étudier aux Etats-Unis. Une fois diplômé, Quentin effectue des missions d’intérims et est embauché en tant que comptable à l’Hippodrome de Vincennes. Un soir, il se retrouve seul avec un sac contenant la recette de la course du Grand Prix d’Amérique. Sur un coup de tête, il s’enfuit avec l’argent. Après avoir réalisé son erreur, il décide de remettre le sac à sa place, mais il est déjà trop tard : la police a déjà été prévenue.
Ne sachant que faire, il cherchera de l’aide auprès de son ancienne petite amie. Son périple l’emmènera dans différentes villes européennes et lui réservera son lot de surprises, dont une pour le moins inattendue.
Cavale, histoire d’amour, trahisons… Quentin n’aura que peu de temps pour réfléchir aux conséquences de ses actes.

Merci aux éditions Chemin vert pour cette lecture !

Mon avis

Quentin, jeune diplômé, travaille en intérim à l’hippodrome de Vincennes où il fait de la comptabilité en attendant de trouver mieux. Un soir où son supérieur part plus tôt pour pouvoir partir en vacances, il se retrouve avec la charge de remettre la recette du jour aux convoyeurs de fonds de chez Brinks. Sur un coup de tête, il décide de partir avec l’argent, une recette à deux millions d’euros. Pris de remords, il tente de remettre l’argent à sa place, mais une fois revenu à l’hippodrome, celui-ci est encerclé par la police. Rien de prémédité, et pourtant le plan épervier est déclenché et Quentin est dorénavant recherché activement par la police…

Notre personnage principal va chercher du secours auprès de son ex, Chloé. Habitant à Nice, elle remonte à Tours pour apporter tout son soutient à son ex-petit ami. Enfin dans les faits seulement, car en réalité Chloé est une sacrée menteuse et changera de version trois/quatre fois avant la fin du roman pour justifier son retour auprès de lui. Et Quentin est très naïf, il la croit à chaque fois, même s’il se rend compte que ce n’est que du vent à chaque fois. A sa place, dès le premier mensonge j’aurais abandonné la demoiselle qui m’a plus énervée qu’autre chose. Ah, l’amour, tout ce que l’on ne ferait pas pour ça ! L’argent ne fait pas le bonheur et notre voleur va s’en rendre compte très vite : devenu SDF, trahit à de multiples reprises, il risque sa vie à  chaque instant pour son coup de tête.

Quentin est en perpétuelle cavale du début, jusqu’à la fin. L’action est omniprésente, ce qui fait que je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. On est vite pris par le rythme de la cavale qu’en même pas deux heures le roman est fini. L’écriture, fluide, y joue pour beaucoup. Cependant, il y a très peu de descriptions, mais cela ne m’a pas plus dérangé car j’ai pu me concentrer plus facilement sur la cavale.

En tout cas, Débrouille-toi ! porte bien son titre : Quentin est seul dans cette histoire et ne peut compter que sur lui-même pour se sortir du pétrin dans lequel il s’est mit. L’auteur, Lionel Chareyre, n’a pas volé sa victoire au concours « Nos lecteurs ont du talent » (2013) où il a présenté cette histoire, elle est amplement méritée ! Un auteur à suivre…

[Chronique] Claude Gueux – Victor Hugo

[Chronique] Claude Gueux – Victor Hugo

claude gueux

  • Éditeur : Folio (édition de 2015)
  • Pages : 135
  • Genre : Classique
  • Prix : 2.50€
  • Acheter Claude Gueux

« Claude Gueux, honnête ouvrier naguère, voleur désormais, était une figure digne et grave. Il avait le front haut, déjà ridé, quoique jeune encore, quelques cheveux gris perdus dans les touffes noires, l’oeil doux, la lèvre dédaigneuse. C’était une belle tête. On va voir ce que la société en a fait. » S’inspirant d’un fait divers qui eut lieu à Paris en 1832, et quelques années après Le Dernier Jour d’un condamné, Victor Hugo écrit un nouveau plaidoyer contre la peine de mort. Il dénonce la misère qui frappe les classes laborieuses, l’intransigeance bornée des chefs, et montre l’enchaînement fatal qui conduit les pauvres au crime. Ce n’est pas l’individu qu’il faut condamner, c’est la société qu’il faut réformer. Dans un débat toujours actuel, il prône l’éducation contre la prison.

Merci à Livraddict et aux éditions Folio pour cette lecture !

Mon avis

Claude Gueux était un homme pauvre, qui vivait avec sa compagne (non-mariés) et son enfant. Faisant parti de la classe laborieuse, sans travail et donc sans argent, l’homme se met à voler pour pouvoir nourrir sa maisonnée. Mais Claude se fait prendre, et fini en prison. Et parce que là-bas, il estime que le Directeur est méchant envers lui, il va le tuer. Claude Gueux est condamné à mort. Ceci est l’histoire vraie sur laquelle Victor Hugo a écrit ce roman contre la prison et pour l’éducation du peuple.

On attaque ce roman, non pas part l’histoire de Claude Gueux, mais par la préface d’Arnaud Laster. Bien qu’elle amène des éléments nouveaux pour saisir l’ampleur du texte de Hugo, cette partie est longue et fastidieuse, on en voit pas le bout. Car on penserait qu’il serait difficile de lire du Victor Hugo à cause du vocabulaire employé (le roman a été écrit en 1832), mais le texte de l’auteur est bien plus facile à lire et à assimiler que celui du préfacier qui l’a écrit à notre époque.

Mais revenons au texte en lui-même. On commence donc par l’histoire de Claude, à partir de son emprisonnement, la description d’Hugo du lieu et de son Directeur, jusqu’à son dernier jour. Et à partir de là, c’est un véritable plaidoyer que nous a écrit la Hugo, contre la prison et pour l’éducation, contre une société discriminante envers les siens. C’est un texte intemporel, énormément de questions soulevées par Hugo sont encore d’actualité aujourd’hui. Et comme je le disais plus haut, c’est un texte qui reste simple et facile à lire, ainsi qu’à comprendre. Le tout est accompagné d’un dossier très complet pour aller encore plus loin.

C’est un livre très intéressant, qui amène à se questionner, à réfléchir. C’est une lecture très instructive, qui m’a donné envie de découvrir les autres ouvrages de l’auteur…

[Chronique] Chroniques lunaires, tome 2 : Scarlet – Marissa Meyer

[Chronique] Chroniques lunaires, tome 2 : Scarlet – Marissa Meyer

chroniques lunaires 2

  • Éditeur : Pocket (2013)
  • Pages : 476
  • Genre : Seinen
  • Prix : 17.90€
  • Acheter Scarlet

Bien loin de l’asie et du royaume du Prince Kai, la grand-mère de Scarlet Benoit est portée disparue. Scarlet réalise alors qu’elle n’a jamais su qui était vraiment son aînée et quels dangers pouvaient bien la menacer. Quand elle rencontre Wolf, un mystérieux street-fighter qui semble savoir où est sa grand-mère, elle n’a d’autre choix que de lui faire confiance. C’est en menant leur enquête que Scarlet et Wolf croisent la route de Cinder. Ensemble ils se ligueront contre Levana, la vicieuse Reine lunaire prête à tout pour asservir les Terriens et épouser le Prince Kai.

Mon avis

Scarlet est une jeune française qui vit avec sa grand-mère. Sauf que la pauvre dame a été enlevée, et personne ne sait ni pourquoi, ni par qui, et encore moins où elle peut bien être… Marissa Meyer nous livre ici une réécriture du conte du Petit Chaperon Rouge, après celui de Cendrillon avec Cinder.

Après ma lecture du premier tome, j’avais une crainte, celle de ne pas retrouver la magie du un, sachant que l’on changeait de personnage. Mais heureusement, on suit aussi Cinder, qui finit par rejoindre Scarlet. Et j’ai bien aimé retrouver l’univers de Chroniques Lunaires avec ce nouveau personnage qui apporte une certaine fraîcheur et un nouveau point de vue sur la situation, c’est très agréable.

Il y a aussi de nouveaux personnages qui font leur apparition : Thorne, le « commandant » un peu barré qui tombe amoureux de toutes les filles qu’il croise, et Loup, le compagnon de la jeune française, qui apporte une part de mystère à ce nouveau tome avec tout ses secrets. De nouvelles relations, de nouveaux alliés, mais aussi un pan du passé oublié de Cinder qui se révèle.

D’où venait-elle? Où est-elle passée tout ce temps durant l’opération qui la changea en cyborg suite à son accident? Tout ça nous est dévoilé en détail. Et pour la première fois, on suit le personnage de Levana sur sa planète, pendant un court instant. Court, mais très instructif. J’aimerais tellement en savoir plus sur elle et sur ses motivations les plus profondes !

Ce deuxième tome tient ses promesses et est dans la lignée du premier, je me suis régalée tellement cet univers SF est addictif ! Je lirais la suite le mois prochain, c’est une saga que j’ai envie de dévorer sans attendre !

[Chronique] Et si on se prostituait ? – Eva Giraud

[Chronique] Et si on se prostituait ? – Eva Giraud

et si on se prostituait


« J’ai cherché du boulot pendant quatre ans. Avec acharnement. Deux heures par jour, cinq jours par semaine. Je n’ai pas eu un seul entretien. J’ai postulé, cent fois, deux-cents fois, postulé encore. Et puis j’ai arrêté de compter.
J’ai 25 ans, je suis au chômage mais ne touche pas le chômage. Que faire quand on ne rentre pas dans les cases ? Eh bien, on fait comme moi, et comme des milliers d’autres : on cherche, on s’occupe, on travaille pour la gloire, et on prend ça avec humour. Et surtout, parfois, on a envie d’étrangler les gens qui nous disent que « quand on veut on peut ». »
Elle s’appelle Eva, elle cherche du travail depuis… toujours ? Oui c’est plus ou moins ça. Vous connaissez tous une « Eva », nous sommes tous concernés de près ou de loin par sa situation. Heureusement, Jean-Claude est là pour la soutenir. Et c’est avec humour, bien qu’avec réalisme également, qu’elle nous présente son aventure, pour ne pas dire son parcours du combattant.

« Et si on se prostituait » est un témoignage qui n’emploie pas la langue de bois et qui dénonce une réalité qui ne fait pas toujours plaisir… Mais Eva a le mérite de s’exprimer sur le sujet dans cette nouvelle dont le ton léger permet de ne pas dramatiser le sujet abordé. Car même si la situation est effectivement dramatique pour nombre de jeunes comme Eva, elle a su présenter son expérience avec du recul et un cynisme qui lui va tellement bien…

Mon avis

Eva est au chômage depuis quatre ans. Pourtant, elle a travaillé dur pour obtenir son BTS édition, elle a tout donné pour le décrocher. Et pour quels résultats? Essuyer des refus – quand un employeur veut bien se donner la peine de lui répondre – , travailler pour la gloire en se disant que ça fera bien sur le CV, un peu d’expérience… Eva nous délivre un témoignage poignant, qui reflète bien la difficulté de trouver un emploi. « Nous connaissons tous une Eva« . Je suis une Eva, ça va faire trois ans que j’essaye avec difficulté de trouver aussi un emploi, alors quand je vois qu’elle parle de ce « service civique », ou des formations inutiles que nous colle pôle emploi, je me suis très vite reconnue.

Nous suivons mois après mois Eva, face à ses efforts, ses désillusions, les employeurs peu scrupuleux qui n’hésitent pas à lui demander si elle vient de la part de quelqu’un, ou qui n’hésitent pas à briser ses espoirs en lui faisant miroiter un contrat, pour plus tard lui refuser. On a envie de l’aider, de l’épauler, de lui dire qu’elle y arrivera à s’en sortir. Elle y croit aussi, mais au bout de quatre ans, qu’espérer de plus?

Cependant, point de mélo-dramatique et d’apitoiement sur sois-même, l’auteure nous délivre son récit avec une touche de cynisme et d’humour noir qui fait sourire malgré le sujet. Avec Jean-Claude, son chat et sa colocataire Léa, elle pense quand même: « et si on se prostituait? » une idée jetée qu’elle ne réalisera pas, mais ce n’est pas sans rappelé les étudiantes qui ne peuvent et payer leur scolarité et leurs frais et qui décident donc de louer leur corps pour subvenir a leurs besoins. L’écriture fluide d’Eva nous emmènes à travers cette tranche de vie qui se lit très vite, en moins d’une heure j’avais bouclé cette nouvelle de 64 pages. Il n’y a pas vraiment de fin. On s’arrête au bout de quatre années d’intenses recherches avec une petit leçon de morale à l’intention des personnes qui pensent que les jeunes ne font rien pour s’en sortir, les mettant devant le fait accomplit: si ils ne la croient pas, qu’ils viennent donc passer un mois ou deux chez elle, pour comprendre un peu mieux ce qu’elle vit.

En bref, j’ai beaucoup aimé ce témoignage que nous délivre Eva et je me suis beaucoup reconnue à travers ces lignes. Je remercie le forum Have a Break, Have a Book et les éditions Edibitch pour ce partenariat.

[Chronique] Le roman du café – Pascal Marmet

[Chronique] Le roman du café – Pascal Marmet

le roman du café


Café, qui es-tu ? Drogue, business, médicament, plaisir, carburant, poison ou un ami qui nous veut du bien ?

Dans les coulisses des légendes illustrant le grain sombre, au cœur d’un colossal commerce voué à l’écologie pour durer, ce récit romanesque se déguste à travers l’amitié d’un jeune aveugle passionné de cafés et de son extravagante amie d’enfance.
Du Brésil au Costa Rica, du Vietnam à la Cote d’Ivoire, rien n’échappe aux regards croisés d’un torréfacteur éco-responsable et d’une pimpante journaliste.

L’essor de cet or brun est une véritable épopée gorgée de rebondissements, de faits d’armes parfois, plus souvent de passions partagées pour le divin breuvage, une histoire liée à l’esclavage, et tout simplement, à l’humanité.
Après la lecture de ces pages qui n’épargnent ni les consommateurs, ni les industriels, vous serez peut être enclin à changer radicalement vos habitudes de café.

Mon avis

Le roman du café nous conte l’histoire de Julien, un jeune torréfacteur malvoyant qui se retrouve sans emploi du jour au lendemain. Profitant d’être sans activité, il part avec sa meilleure amie Johanna à l’autre bout du monde pour en apprendre un peu plus sur le café malgré son énorme connaissance dans le domaine, connaissance qu’il partagera avec nous pendant son voyage.

Les débuts du café, son arrivée en France et ce qu’il en est aujourd’hui, rien ne nous sera épargné. C’est avec le sentiment d’en avoir appris bien plus qu’en une heure de cours de service en lycée hôtelier que je referme ce livre avec l’intime conviction que Pascal Marmet est un auteur à suivre. Merci à lui pour le livre, la dédicace et au forum Have a Break, Have a Book pour ce partenariat.

Pascal Marmet a fait beaucoup de recherches pour ce roman et ça se ressent, tant dans l’histoire que dans l’annexe très bien fournie. La plume de l’auteur nous transporte à travers tout ce travail, partagé entre les discussions de Julien et Johanna. Mais il n’y a pas que le café dans ce livre, mais aussi une histoire familiale et de lourds secrets qui en découlent, tous tenus par une seule personne, François, le grand-père de Julien, le « vieux con » de l’histoire pour qui on a presque pitié.

Le personnage que j’ai le moins aimé est Johanna. Tout en elle m’exaspère : son trop plein d’assurance qui tape sur les nerfs, son arrogance et son instinct de survie quasi-nul n’aide pas beaucoup. Mais sois elle n’a pas d’instinct de survie, sois elle est idiote, mais pour moi on ne lâche pas son meilleur ami au Brésil (même s’il est en bonne compagnie) pour suivre un mec dont on ne connait rien et qui nous tape sur les nerfs. Je penche pour l’instinct de survie quasi-nul, si elle rencontrait Anastasia Steele ou Bella Swan, elles s’entendraient à merveille.

Avec le roman du café, on voyage, on apprend, on rêve, mais surtout on découvre le café sous un autre œil. Un super bon moment passé en compagnie de Julien et de l’histoire du café, que je relirais sans hésiter !