[Chronique] Vampire Kisses, Volume 1 – Ellen Schreiber & Rem

[Chronique] Vampire Kisses, Volume 1 – Ellen Schreiber & Rem

Vampire kisses 1


Un autre grain de sable dans leur amour nocturne était la dernière chose dont Raven, une jeune gothique lolita et Alexander, son petit ami vampire, avaient besoin. Ils ne tardent cependant pas à découvrir quatre cercueils vides fraîchement déterrés. Quand une bande de vampires sordides hante le seul cimetière de Dullsville, Alexander ne s’attend pas à découvrir que le chef de cette horde misérable n’est autre que son suceur de sang de cousin. Claude Sterlinq. Quel choc ! Raven va les surprendre dans le dernier lieu où elle pouvait imaginer les trouver, en pleine lumière du jour ! Que sont venus faire Claude et ces intrus à Dullsville ?

Mon avis

Vampire Kisses est l’adaptation manga du roman du même nom. Alors évidemment, en deux mangas, on ne peux pas caser toute la magie des 3-4 premiers romans de la saga, et c’est pour ça qu’au premier abord, ce premier tome pourra sonner creux. Pour ma part, je n’ai pas encore lu le roman, pour la simple raison qu’en postface, on peut lire que le roman n’est pas sorti en France. Enfin, ça date, et depuis trois des neufs romans sont traduis dans notre langue.

On suit Raven, jeune gothique -la seule de Dullsville-, qui a pour petit ami, Alexander, un vampire. Leur rendez-vous nocturne au cimetière sera interrompu par la découverte de quatre cercueils, et de tombes fraîchement creusées. L’on apprendra que le cousin d’Alexander, Claude, a débarqué en ville avec un seul et unique objectif : trouver les flacons de sang de sa grand-mère pour devenir un vampire à part entière. Un speech pas très original, je vous l’avoue.

Ce qui m’avait poussée à acheter ce manga à l’époque, c’est son style graphique. Il suffit de voir la couverture, et de le feuilleter pour voir le style gothique de Raven, que j’aime beaucoup. Ses tenues sont très jolies, et c’est à peu près tout ce que j’ai retenu des dessins de Rem. Juste les tenues des vampires, et de notre héroïne ont suffit à me mettre l’eau à la bouche.

L’histoire, quant à elle, souffre d’un effet  »je viens d’un roman, et comme je ne peux pas me permettre de tout caser dans 192 pages, je passe juste sur les moments importants, et au diable le reste ». On a l’impression de passer à côté de quelque chose, un petit plus que l’on doit sûrement retrouver dans les romans, qui n’aurait pas été de refus dans cette adaptation. Il y a même des fautes d’orthographe sur les mots les plus courants. Comme ce n’est qu’une adaptation en deux tomes, je lirais quand même la suite, pour connaître le dénouement final. (Puisque la suite n’a jamais été traduite en France).

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