[Chronique] Seule la fleur sait, Volume 1 – Rihito Takarai

[Chronique] Seule la fleur sait, Volume 1 – Rihito Takarai

seule la fleur sait 1


Arikawa fait une rencontre inattendue avec un étudiant, Misaki, en lui donnant un coup de main. Le même jour, en rentrant à la maison, il le rencontre à nouveau par accident en lui rentrant dedans. Il récupère accidentellement le collier de fleur de Misaki qui semble avoir une valeur sentimentale…

Mon avis

Misaki est un étudiant qui donne de son temps au laboratoire de botanique du professeur Tsujimura. Son dernier partenaire de labo l’ayant lâché, Tsujimura lui a trouvé un remplaçant en la personne de Arikawa, que Misaki avait déjà rencontré par accident la veille : ils se sont rentrés dedans malencontreusement. A l’issue de cette première rencontre, le jeune laborantin a perdu son collier et c’est aujourd’hui son nouveau collègue qui est en sa possession. Au fil des jours, les deux étudiants commencent à avoir des sentiments l’un pour l’autre, mais Misaki ne veut pas se laisser aller à cause de quelqu’un…

Encore un manga de Rihito Takarai ! Mais que voulez-vous, c’est tellement génial ce qu’elle fait… Et Seule la fleur sait est comme ses prédécesseurs : tout aussi bon. C’est un shônen-aï un peu du même style que Seven Days, qui se déroule également à la fac. On a encore ici un(e) mystérieux(se) inconnu(e) qui essayer d’empêcher l’un de nos personnages principaux de goûter à l’amour avec un grand A. Sauf qu’ici, tout cela a l’air beaucoup plus profond et d’avoir plus d’impact sur une possible relation future entre Misaki et Arikawa.

Misaki est un personnage mature, terre à terre et qui a l’air de souffrir de sa situation, et à côté nous avons Arikawa, un personnage plus léger, fraichement célibataire et qui tente de comprendre ses nouveaux sentiments, il ajoute une petite touche d’humour attendrissante dans ce début de relation un peu houleux. Et pour finir, nous avons Tsujimura, le prof un peu déjanté qui ne veut que le bonheur de ses élèves, ses apparitions sont généralement pleines de facéties.

Qui dit shônen-aï, dit pas de scènes de sexe. On restera donc clairement à la mise en place de leur relation, en croisant les doigts pour que ça évolue dans le bon sens. J’espère vraiment que ça aboutira sur une relation qui va plus loin que des messages cachés dans des photos de fleurs que les deux garçons s’envoient ! (Même si ça reste très mignon…)

Côté graphisme, ah… Que dire de plus que je n’ai pas déjà dit sur l’excellent travail de Rihito ? C’est toujours un délice visuel : des corps bien proportionnés, un découpage de cases fluide, chaque cases a bénéficié d’un grand travail, bref tout ça m’amène à dire encore une fois que c’est un travail de qualité.

Je crois que je ne me lasserais jamais des mangas de Rihito Takarai, qui rentre dans mon top 5 de mes mangaka préférées, aux côtés de Kaori Yuki (oui, oui).

2 réflexions sur « [Chronique] Seule la fleur sait, Volume 1 – Rihito Takarai »

  1. Salut !!!
    Hiiiiiiiiiiii l’un de mes préférés de l’auteure !! Cette trilogie est trop belle !!!!!
    Récemment, j’ai découvers « 10 counts » d’elle, c’est magnifique aussi 😀
    Merci pour cet avis, ça fait plaisir que quelqu’un parle de ce manga 😉
    Bonne soirée !

    1. 10 count j’ai arrêté au tome 2, les scènes de viol sous couvert de guérison/psychologie/amour, très peu pour moi 😅
      Mais oui Seule la fleur sait c’est 😍😍😍
      Bonne soirée à toi aussi 😘

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.